reglementation-le-coup-dur

Je vous invite a lire l'article de Fred d'hélice-micro

http://www.helicomicro.com/reglementation-le-coup-dur/


Puis de signer cette pétition :
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Direction_Generale_de_lAviation_Civile_Amendement_au_projet_darrete_Drone_Espace/?ncboWbb

Faites tourner...

C'est fait.

Sur 66 moiutes il y avait dimanche en fin de journée un reportage.
Vous l'avez vu ?

Ca n'empêchera pas les crétins de doubler sur la route en haut d'une côte et de faire 2 morts comme ce wek-end dans ma région.

Ni en encore de fumer du hash ou d'en vendre en toute liberté à Marseille et ensuite de prendre le volant.

Bref bientôt il ne restera que le vol indoor qui sera possible.

Ou alors voler en toute illégalité en essayant de pas se faire prendre.

Tiens tiens, on n'y vient .....

Bud sur Modélisme.com a écrit:....
Pour moi, l'avenir de l'aéromodélisme, ça va surement passer par du privé, des structures où on pourra voler tranquillement mais surtout en payant .
.....

Voilà, c'est simple, on encadre et on fait payer

A+

En tout cas, vu de l'extérieur comme c'est mon cas, ça fait mal au coeur pour vous de voir comment les choses évoluent pour le modélisme chez vous.

Sacre100 a écrit:En tout cas, vu de l'extérieur comme c'est mon cas, ça fait mal au coeur pour vous de voir comment les choses évoluent pour le modélisme chez vous.

Attend tu va toi aussi finir avec des règles européennes ...

DLC sur les fromages avant qui soient fait

djsyl a écrit:... Attend tu va toi aussi finir avec des règles européennes ...

Si cela arrive, on lancera une initiative et on fera voter sur le sujet.

c'est pas "si celaa arrive " c'est avant que cela n'arrive
mais faire quoi?
je trouve aberrant que par exemple sur ma propre base ulm je sois bloqué a 50m
deja quand on regarde les cartes aero actuellement, je n'ai meme pas le droit de voler dessus, alors que je suis chez moi , sur ma propre base , ou j'ai droit de voler en ulm a n'importe quelle hauteur ,
on en arrive a n'importe quoi

voilà, encore un texte pondu par on ne sait qui et qui une fois de plus ne correspond pas à la réalité du terrain
j'ai la chance d'avoir un grand terrain sur (ou au-dessus) duquel je peux voler tranquille, mais même en pleine campagne sans aucune ligne à haute tension ni placé dans un couloir aérien, on va prendre des prunes
c'est du grand n'importe quoi
merci à la minorité de pseudo pilote qui ont déconné et déclenché tout ça

Eric49 a écrit:... merci à la minorité de pseudo pilote qui ont déconné et déclenché tout ça

Tu crois pas que tu devrais pas plutôt t'en prendre aux journalistes qui en ont fait tout un fromage.

tu as raison sacre

Ben oui, une centrale nucléaire avait été survolée en Suisse par un drone l'an passé. Un journaliste qui voulait faire du buzz avait interviewé le responsable de la sécurité de la centrale. Il essayait de lui faire dire le danger que représentait ce drone et le mec lui avait répondu avec son accent suisse-allemand que si un drone de quelques kilos représentait un danger pour la centrale, il faudrait la fermer immédiatement car la sécurité de la centrale serait totalement insuffisante.

Murphy a écrit:Ou alors voler en toute illégalité en essayant de pas se faire prendre.

Parce que tu crois que ça va être la "top priorité" des forces de l'ordre ?

On est à un point où la Police et la GN commencent à être ric-rac pour simplement mettre du diesel dans leurs Scenic. Alors chasser du droniste ?

Il y aura que les cas les plus douteux (ie: je vole en ville au-dessus de la foule) qui feront l'objet de poursuites (et encore, peut-être de rappels à la loi dans un premier temps).

c'est vrai aussi que les journalistes sont en grande partie responsables de cet emballement général autour des multirotor

A chaque génération ses "peurs": le jeu de rôles, les jeux vidéos, les drones ...

Faut vendre du papier (ou de l'audience) !

et c'est pas fini

Allez un petit effort signez !

https://secure.avaaz.org/fr/petition/Direction_Generale_de_lAviation_Civile_Amendement_au_projet_darrete_Drone_Espace/?ncboWbb

Nous avons aussi une lettre type a envoyer :

L'adresse de contact est la suivante: fabrice.alger@aviation-civile.gouv.fr

Proposition de texte, en partie inspiré de l'excellent article d'Hélicomicro:

"Monsieur Alger,

Je me permets de vous écrire ce courriel dans le cadre de la concertation ouverte avec l'aviation civile, en vue de l’élaboration des prochains textes encadrant l'utilisation des drones de loisirs.
En effet, les forums internet étant un creuset merveilleux où l'information (bonne ou mauvaise) circule rapidement, j'ai eu vent d'un début de rédaction de texte officiel totalement défavorable à l'utilisation des drones de loisir.
Je comprends qu' à ce jour les informations qui ont pu vous être transmises dans le cadre de cette consultation sont encore fragmentaires, puisqu' elles remontent pour l'essentiel de la Fédération des Professionnels du Drone Civil (qui ne représente en rien les dizaine de milliers de pratiquants amateurs) et de la Fédération Française d'Aéromodélisme qui à ce jour ne représente pas elle non plus les très nombreux possesseurs de drones bien peu souvent licenciés.

L'objet de cette missive est de s'inscrire dans votre requête, et de proposer une synthèse des demandes d'utilisateurs chaque jour sur le terrain, afin qu'ils puissent utiliser leurs appareils dans un cadre légal, constructif et défini et sécurisé. Il n'est aucunement question d'ouvrir une tribune critique de cette concertation, mais bien plutôt de suggérer un point de vue réaliste et représentatif d'une pratique en plein essor, pourvoyeuse de nombreux emplois dans le domaine du loisir.

Pour être bref, c'est surtout l'article 5 qui a retenu l'attention des pratiquants. En effet, celui-ci fait de facto barrage aux tolérances ouvertement admises et fort bien inscrites dans la plaquette largement diffusée par la DGAC il y a pourtant quelques mois, et qui proposait le cadre bien défini d'une pratique responsable.

La première des demandes des pratiquants est avant tout le maintien d'un plafond maximum de 150 mètres. En effet, l'altitude suggérée de 50 m ne répond à ce jour à aucune exigence sécuritaire concernant le partage du domaine aérien, y compris dans la gestion du Réseau Très Basse Altitude (celui ci démarrant du sol, et non de l'altitude arbitraire de 50 m). Au delà, il me semble bien naïf de penser que les mêmes aéromodélistes licenciés pourront le respecter, dès lors que même le vol de pente planeur nécessite bien souvent une altitude supérieure afin de pouvoir être pratiqué sereinement et en sécurité. Les possesseurs de multi-rotors destinés aux prises de vues pour le plaisir vont adorer la mesure. Est-elle justifiée par des incidents entre le trafic aérien et les « drones » au niveau du plafond de 150 mètres ? On demande à les connaître. Voilà donc une mesure surprenante…

Le deuxième point indique que les clubs d’aéromodélisme doivent être « localisés ». C’est le cas de la plupart des clubs existants, mais ce point donne un coup d’arrêt à des expérimentations comme celle de l’Association des Mini Racers, adhérente FFAM, qui a la particularité de ne pas avoir de terrain fixe.

La troisième mesure concerne l'interdiction de survol de l'espace public. Mesure là aussi complètement fallacieuse d'autant que les propositions antérieures stipulaient l'interdiction de survol de regroupement de personnes ou d'animaux, et par extension d' agglomérations, de sites sensibles ou interdits, et de fait étaient parfaitement recevables, entendues et respectées dans le cadre de la pratique de notre loisir. Cantonner les pilotes de drones amateurs dans une bulle les restreignant aux limites d'une propriété privée et à un plafond de 50 mètres nous apparaît de facto comme totalement impossible à respecter, et au delà représente un risque patent de transgression de règles si restrictives dès lors que le pratiquant voudra vivre sa passion comme il la vit aujourd'hui, dans le cadre des tolérances justes et mesurées de distance et d'altitude. Mesures qui, notons le, n'ont induit aucun risque sécuritaire ou accident malgré une utilisation intensive et des milliers de vols journaliers.

Le quatrième point indique que pour faire voler un drone dans un espace aérien contrôlé, une CTR par exemple, il suffit d’envoyer une notification préalable à « l’organisme fournissant les services de la circulation aérienne ». Pas une demande d’autorisation, non, elle n’est nécessaire que pour dépasser le plafond de 150 mètres. Juste une notification. Problème : il faut se référer à l’ENR 1.1 publié sur le site du SIA pour savoir comment notifier. On comprend qu’il s’agit d’un NOTAM, que c’est terriblement compliqué et qu’on est confronté au jargon aéronautique habituel. Le choc de simplification n’a pas eu lieu…

Pour finir avec les requêtes qui nous semblent parfaitement légitimes, il est absolument nécessaire de faire un pas en avant au niveau légal, et d'abroger les textes interdisant aux amateurs de diffuser des images aériennes dans un contexte gratuit et non commercial (domaine qui doit bien sûr impérativement demeurer l'exclusivité des professionnels de l'image). A l'heure d'internet, les supports photos et vidéos permettent l'éclosion de véritables talents artistiques, et la toile devient un florilège de belles images ou s'exprime une créativité sans précédent, issue d'une démocratisation de moyens de prises de vues. Cet engouement est mondial, et à ce jour chaque pays, chaque région rivalise de travail afin de mettre en avant ses paysages, ses trésors culturels. Or ces talents se trouvent hors la loi dès lors qu'ils font partager à titre tout à fait gracieux leurs créations. A l'heure de la reconstruction économique du pays, à une époque ou le « vivre ensemble » est devenu une croisade méritoire, comment expliquer ce reliquat répressif d'un autre âge ?

Espérant que cette requête de dizaine de milliers de passionnés de drones de loisirs, acteurs économiques évidents et consommateurs avertis dans le domaine des nouvelles technologies, citoyens responsables et pourvoyeurs d'emplois indirects dans le domaine des loisirs et du tourisme, sera enfin entendue comme il se doit. Nul doute que les acteurs de la vie politique du pays, maires, députés, ministres, seront eux aussi sensibles à une solution concertée en amont, comme c'est actuellement le cas avec ce courriel.

Je vous prie donc d'agréer, Monsieur Alger, l'expression de mes (de nos) sentiments les meilleurs."

j'avais pas précisé, mais c'est signé

c'est fait depuis le debut

N'oubliez pas d'attacher la pièce jointe contenant le modèle de réponse DGAC à votre mail :
http://www.mk-fr.info/forum/index.php?action=dlattach;topic=26040.0;attach=51016

signé également,

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